Attends, ferme la portière, je vais te scotcher (sans même toucher au contact)

Aire de Trou-du-Uc-Sans-Trop-De-Oilps (ou un truc comme ça), sur l’A je sais plus combien.

En France donc.

 

J’étais en train de me trip hopper tranquille là (oui, du verbe du premier groupe « to trip hop your head off »), mais fallait que je m’arrête pour rédiger ça.

 

Je suis pas rendu en Italie là, à ce rythme, vu que je m’arrête dès que j’ai une idée de mail, mais bon…

 

Alors, attends, grimpe.

Ferme la portière.

 

Je vais te scotcher.

Sans même démarrer.

 

Intro.

Juste une sonorité.

 

Douce.

Envoutante.

Et mystérieuse à la fois.

 

Tu te demandes comment le morceau va évoluer.

Si ce n’est carrément de quel style de zic il s’agit.

 

Et là ?

L’entrée de la basse.

 

Gros groove.

 

Tu te dis qu’avec de bons beats, ça va envoyer du pâté sévère.

 

Mais non.

Pas encore.

 

Il faut susciter l’attente.

Faire monter le désir.

 

Et surprendre, encore et toujours.

 

Dans ce morceau ?

C’est une ligne de piano qui s’en charge.

 

Et qui envoie l’atmosphère bien plus loin.

Ailleurs.

 

Alors que tu ne t’y attendais pas.

 

Et là ?

Une voix écorchée à la Asaf Avidan qui s’envole.

Qui « gratte ».

Et te reste déjà dans la tête.

 

Ils prennent leur temps pour poser l’ambiance.

Et t’emmener avec eux.

 

Doucement mais sûrement.

 

Et quand tu commences à te dire que tu es parti pour une belle balade planante ?

 

Bim !

Entrée de la section rythmique.

 

Les beats, oui.

Affutés comme des scalpels.

 

La basse qui s’était éclipsée sans que tu ne t’en rendes compte vu que ton attention était toute accaparée sur le piano, et la voix presque alien du type ?

 

Elle revient.

 

Seule d’abord.

Pour 4 mesures.

 

Puis doublée d’une ligne de synthé jouant exactement le même groove que la basse.

Qui te donne l’impression d’être la tête directement dans les enceintes tellement le son est fat.

 

Un break en fin de phrase musicale…

Et ça repart de plus belle.

 

Tu hoches la tête.

Sans même t’en rendre compte.

 

Ni pouvoir rien y faire tellement tu es dedans.

 

Au moment où tu te demandes si le morceau va donner l’impression de s’accélérer ?

Break.

 

Silence de 2 secondes.

 

Juste la reverb sur la voix qui traine, et un accord de piano qui prépare la relance.

 

Et la machine à groove se remet à t’emmener vers les cieux.

 

Encore.

Et encore.

 

Avec les beats scalpel-style et la ligne de basse doublée du synthé.

 

Qui enchaine.

Enchaine encore.

Et enchaine encore.

 

Comme pour mieux te faire décoller et se faire comprendre.

 

Je pourrais t’emmener jusqu’au bout du morceau comme ça.

Mais je ne vais pas le faire.

 

Et appuyer sur…

STOP.

 

Là.

Comme ça.

 

Pas pour te frustrer, non.

 

Juste pour te faire remarquer que je viens de te faire une démo de comment rédiger de façon hypnotique.

Même si, ici, j’ai volontairement choisi de rédiger sur n’importe quoi.

 

Si tu sais rédiger comme ça ?

Il est presque impossible pour les gens qui te lisent de ne pas aller jusqu’au bout de tes textes.

Et donc tes liens ou tes boutons d’achat.

 

Parce que tu maitrises exactement comment leur faciliter la lecture.

Accrocher leur attention d’entrée.

Et la garder jusqu’au bout.

 

Jusqu’où tu veux, en fait.

 

Si tu sais faire ça ?

Tu peux accrocher l’attention de n’importe qui, même sur Facebook.

 

Si tu sais faire ça ?

Les gens qui te suivent vont devenir accro à tes mails.

 

Si tu sais faire ça ?

Ils te liront sans effort.

 

Si tu sais faire ça ?

Ils iront au moins jusqu’à voir tes offres.

 

Et ce que tu as à leur proposer pour les aider.

 

Ce qui est déjà bien mieux que ce que savent faire même les marketeux les plus expérimentés avec leurs contenus…

 

Là ?

Je viens juste de te faire une démo de la rythmique.

 

Dans « Rédaction Hypnotique » ?

Je te montre comment je rédige.

 

Tout en faisant passer les idées que je veux ancrer dans la tête de mon audience.

Et en les convainquant en même temps d’absolument vouloir ma dope.

 

Et même exemples à l’appui.

Dans des vidéos où je rédige des mails en live devant toi en t’expliquant ce que je fais et pourquoi je le fais comme ça.

 

Cette formation ?

Elle est dispo sur cette page : http://lifestylers.fr/redaction-hypnotique

 

Le seul souci, c’est que à son tour de subir la grande inflation infestant tout Gregsland…

Et que j’en augmente définitivement le tarif demain soir.

A 23h58 ou 9.

 

Greg