Sossuvlei, Namibie. Plus ancien désert du monde, et des couleurs irréelles au lever du soleil.
Limite rouge sang !
En parlant de rouge sang, bad trip hier sur une magnifique piste avec des panoramas à tomber par terre.
Je conduisais, les yeux à scruter les paysages et à essayer de spotter les animaux traînant dans le coin quand j’ai vu un truc bizarre sur la piste.
Au début ?
Je pensais qu’il s’agissait d’une vielle carcasse de bagnole des années je sais pas combien comme on en voit parfois le long des routes africaines.
Sauf que là, elle était sur la piste.
Bizarre.
En nous approchant, avec la nana que j’avais pris en stop pour quelques jours, le palpitant qui monte dans les tours :
une moto, couchée.
Et 3 mètres devant, le motard.
Allongé sur le sol.
Inconscient.
Pas mal de sang sur le visage de ce qu’on pouvait voir avec son casque.
(J’avoue : j’ai dû faire des mailings un peu plus drôles que celui-là…)
On fait donc tout ce qu’il faut.
Le mettre en position de sécurité.
Faire appeler les secours par les véhicules suivants.
Les gestes de premiers secours.
Bref, les trucs d’urgence de base qu’on devrait nous apprendre à l’école au lieu de nous gonfler avec des heures de philosophie où on t’apprend à penser bien comme un gus d’il y a 1000 ans ou des cours d’éducation civique où on t’apprend surtout très très très bien à-penser-et-voter-bien-comme-il-faut-sinon-t’es-pas-quelqu’un-de-bien-d’abord.
Je te rassure :
le motard va s’en tirer.
(Mieux vaut pas se planter dans ces coins là au milieu de rien vu comment les ambulanciers sont speed et doués quand même).
D’autres trucs de base qui seraient bien plus utiles que 90% des cours qu’on suit dans un cursus scolaire ?
Apprendre un minimum à savoir gérer son argent.
(Ca éviterait à un paquet de gens pas très futés de s’endetter jusqu’au cou…).
A savoir gérer des projets.
A monter un business.
Et tout un tas de trucs plus terre à terre mais nettement plus utiles que de connaître la superficie du Brésil ou ce que c’est qu’une hypoténuse.
Pour les gens qui bossent sur le web ?
C’est pareil je trouve.
Beaucoup vont passer des années à chercher à maîtriser les trucs les plus avancés.
Sans mettre être capable de poser les bases qui vont leur permettre de décoller.
Savoir se positionner.
Savoir cibler ses clients idéaux.
Savoir ce qu’ils veulent vraiment.
Comment attirer leur attention.
Comment les convaincre.
Tout le reste ?
C’est du superflu.
Passionnant.
Intéressant.
Eventuellement utile à l’occasion.
Mais certainement pas nécessaire.
En tout cas, pas avant de maîtriser tout ça d’abord.
Au mieux ?
Ca ne va être que des multiplicateurs.
Des accélérateurs.
Mais un moteur de Ferrari, aussi puissant soit-il, tu n’en feras jamais rien si tu n’as pas la bagnole autour ou que tu ne sais pas conduire.
Ce que j’essaie de t’enseigner chaque mois, du mieux que je peux, dans la formation papier aussi incluse pour les membres de la Marketing Master School ?
C’est pile ça :
Comment avoir ton bolide.
Et comment savoir le conduire.
Une fois que tu sais rouler à 30km/h ?
Tu n’auras pas de mal à savoir comment le faire à 90 ou à 120.
(Surtout que des gens qui font du bon contenu et de bons produits, ça se remarque vite)
Si tu fais comme la plupart des gens qui se lancent sur le web ?
Tu regardes ton beau moteur.
Et tu te demandes pourquoi tu n’as pas de trafic ou de ventes.
Dans la prochaine édition, qui ne va pas tarder à partir à l’imprimeur ?
Le best of des points à mettre dans tout ton marketing pour cartonner.
La version ultra condensée.
Et tout un tas d’exemples illustrés pour que tu puisses injecter le carburant dont tu as besoin.
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Greg