Ce qui te coûte plus de ventes que tu n’en fais, à chaque fois que tu proposes une offre

Attention, métaphore à la mords-moi le zob :

 

Il fait beau.

Tu ouvres les fenêtres.

 

Ca fait courant d’air.

Ca aère.

 

Bref, c’est cool.

 

Jusqu’à ce que ça fasse TROP courant d’air.

Et que les portes se mettent à claquer de partout.

 

Ton réflexe, dans ces cas-là ?

Oui, fermer les fenêtres.

Ou les portes.

 

Jusqu’à ce que ça ne claque plus.

 

Et tant pis si ça évacue moins vite les odeurs de phoque et les vapeurs encore emplies d’alcool de la teuf de la veille.

 

Pourquoi je te parle de ça ?

Parce qu’en Mark et en Ting, c’est pareil.

 

Enfin presque…

 

Parce que là, tu ne veux même pas le moindre courant d’air.

Et tant pis si ça fouette le fenneck à faire s’évanouir même un putois.

 

Por qué ?

Parce que tu veux proposer un marketing qui ne laisse aucune chance de s’échapper à tes Padawans.

 

Quand tu crées une offre et que tu prépares ton argumentaire de vente ?

 

Tu as beau penser la meilleure méthode possible.

Celle qui va aider une majorité de gens à résoudre leurs problèmes ou obtenir ce qu’ils désirent plus que tout.

 

Et ficeler tout ça dans une offre aussi sexy que Clara Morgane grande époque.

 

Si tu promets un certain résultat, mais qu’au bout de 3 paragraphes, la moitié des gens qui te lisent se disent que ce n’est pas pour eux ?

Qu’ils ne pourront pas appliquer ta méthode ou utiliser ton produit ?

Que dans leur cas, ça ne va pas fonctionner ?

 

Tu es déjà dead.

 

Et tu ne vendras pas des masses.

 

Tu perdras même plus de ventes rien qu’à cause de ça que ce que tu vas en obtenir.

A chaque fois que tu lances une offre.

 

Et tu t’en doutes :

Ca fait vite un sacré paquet de blé que tu laisses sur la table.

 

C’est pour ça que l’une des choses les plus importantes en marketing, c’est de savoir casser les objections.

 

Et fermer toutes les portes par lesquelles tes prospects peuvent se barrer.

Sans acheter.

 

Un très bon moyen de le faire ?

 

C’est, à chaque fois que tu dis quelque chose dans un de tes contenus de vente, de systématiquement te demander si tu viens peut-être de provoquer une objection dans l’esprit de la personne qui te lit.

 

Et si c’est le cas ?

 

Tu casses cette objection.

De suite.

 

(Pas 3 paragraphes plus loin.

Ca serait déjà trop tard…)

 

Ce n’est vraiment pas compliqué.

Juste un réflexe à avoir.

 

(Et tu vas te rendre compte qu’à force, c’est en effet vraiment un réflexe.

Et que tu le fais sans même y penser)

 

Dans la prochaine formation papier de la School ?

 

Je ne te montre pas juste quelles sont les 5 objections universelles qu’on a tous.

 

Quels que soient l’offre.

La thématique.

Ou le tarif.

 

Afin que tu puisses penser à les traiter dans chacune de tes pages ou vidéo de vente.

 

Ni même juste aussi comment casser les objections qui constituent les plus gros freins à l’achat pour les gens qui les consultent.

 

De façon systématique, comme ça.

Dès que tu dis quelque chose qui peut faire penser à une partie de ton audience que ton truc, il ne va pas fonctionner pour eux.

 

Non.

Je te montre aussi, nombreux exemples à l’appui, comment tu peux aussi le faire dans n’importe quelle partie de ton argumentaire.

(Et même, oui, dans la partie que les gens lisent le plus :

…tes puces promesses)

 

Mais également dans tes mailings.

(Si les gens tiquent dès tes mails, avant même de voir ta page ou vidéo de vente, tu es mal barré…)

 

Et ça, y compris si tu fais des promesses qui paraissent bien difficiles à croire.

 

Tu vas voir que tu peux désarmer les objections qui te coûtent un paquet de ventes en apportant de la preuve que tes trucs marchent.

Et que non seulement ils marchent, mais qu’il vont aussi marcher pour la personne précise qui te lit.

 

Mais que tu peux aussi (et c’est ce que tu veux faire quand tu rames à trouver comment tu pourrais bien prouver quelque chose…) casser ces objections…tout en suscitant un maximum de curiosité.

En même temps.

 

Pour que les gens aient envie d’acheter tes trucs, rien que pour savoir ce qui se cache derrière.

 

Ninja stuff, ça ?

You bet.

 

C’est aussi dans la prochaine édition de la coquine à ventes de la School.

 

Qui est déjà partie à l’imprimeur.

 

Inscription ici avant que je ne la fasse expédier donc, si tu veux la recevoir :

http://lifestylers.fr/marketing-master-school/

 

Greg