Coup de blues, poker face éternelle et typing therapy

Belgrade, un dimanche midi en mode complètement naze après une dernière grosse soirée avec mes amis d’ici…

Ca t’arrive sans doute aussi parfois :

(surtout si comme moi tu es émotif)

Tu vis des moments extraordinaires pendant un moment.

Avec des gens géniaux.

Et tout d’un coup ?

Finito.

Tu as beau savoir que toutes les bonnes choses ont une fin.

Quand ça arrive, ça fait mal.

Pire qu’une gueule de bois :

Le grand vide après une période émotionnellement géniale.

Ce type de moments pour lesquels on vit.

Ces gens à qui on s’est tellement attachés qu’ils nous manquent déjà terriblement, 5 minutes après leur avoir dit au revoir.

Ou « adieu », comme c’est souvent le cas quand tu rencontres des gens d’un peu partout sur cette Terre.

Tu le sais, c’est passager.

Et si tu fais ce qu’il faut pour te créer la vie de tes rêves…

(ce qui est vraiment pas si difficile quand on en fait sa priorité)

tu sais que la suite va être géniale.

Par exemple, là, je quitte Belgrade.

Retour en Bretagne pour régler quelques trucs et profiter de l’arrière saison.

Ca va être top.

Et je vais revenir. Vite.

Bref, le baromètre est au top.

Sauf juste là maintenant.

Pourquoi je te parle de ça, alors que tu en as probablement rien à cirer ?

Parce qu’il y a plein de choses intéressantes derrière ça.

Par exemple,

Tu peux partager ça avec ton audience dans l’un de tes mailings.

Ca va te faire un bien fou d’écrire ce que tu as sur le coeur.

Ces mailings quotidiens sont vraiment thérapeutiques.

Même quand tu ne pars pas en mode journal intime comme je le fais là.

Ton audience va comprendre ce que tu ressens.

Elle va s’identifier à ce que tu vis.

Même si tu partages juste des émotions que tu auras zappées 20 minutes plus tard.

Et les émotions, je te le dis souvent.

C’est hyper puissant.

Ce sont les meilleurs déclencheurs pour faire passer tes lecteurs à l’action quand tu sais les faire passer, et que tu joues dessus pour mieux faire résonner ton message.

Mais c’est aussi tout simplement le meilleur moyen de vraiment te « connecter » avec les gens qui te suivent.

De rentrer dans leur vie.

Et de devenir cet espèce d’ami virtuel qu’ils finissent par mieux connaître que pas mal de leurs potes.

A force qu’ils te lisent, jour après jour.

Et ça, ça n’a pas son pareil pour t’aider à vendre.

On ne suit vraiment pas quelqu’un qui partage ce qui le fait vraiment vibrer, ses hauts et ses bas, ce qui l’inspire ou le saoule comme on suivrait quelqu’un de lisse.

Genre Poker Face éternelle.

Exactement comme on vend plus facilement un produit dont on avoue un défaut

(ça rend nos promesses plus crédibles)

on fédère bien plus facilement une audience de « fans » (j’aime pas le mot, mais tu vois l’idée…) quand on met ses tripes sur la table.

Y compris dans les moments moins sexy.

C’est comme ça qu’on tisse une relation de malade avec son audience.

Parler de soi, c’est déconseillé en marketing.

Tu veux toujours t’adresser à tes prospects.

Faire du VOUS.

Pas du JE.

Sauf que quand tu partages des émotions dans lesquelles ton audience va se reconnaître, c’est comme si tu leur parlais d’eux.

A travers toi.

Et là tu fais coup double.

Exactement comme tu fais coup double en partageant un simple texte comme ça aussi sur ton site ou sur Facebook.

Et que tu mets systématiquement un lien vers l’une de tes offres à la fin.

Pour moi aujourd’hui ?

Ca va forcément être Emailing 3.0.

Parce qu’au delà du niveau de ventes hors normes que cette méthode apporte

(surtout comparé au temps de « travail » que ça demande)

ça fait vraiment du bien d’écrire chaque jour.

Je me sens déjà mieux.

Et c’est aussi grâce à toi…

Greg