Day one, et déjà à poil

Dans mon 4×4 quelque part au Botswana, en pleine nuit, après avoir passé la frontière avec la Namibie.

 

Dans la série j’ai jamais de bol avec mes vols :

pas de gros retard cette fois.

 

Mais une mauvaise surprise en atterrissant à Windhoek (la capitale de la Namibie) : les loustics à l’aéroport de Luanda (en Angola, comme tu sais forcément haha), ma dernière escale, ont complètement triplé et oublié de faire suivre mon sac.

 

J’arrive donc.

Et je fais le bilan.

 

Moi, bien arrivé.

Mon sac cabine (et toutes mes affaires de valeur et vitales) : bien arrivé.

Mon sac avec tout le reste (soit toutes mes fringues et les accessoires bien utiles) : resté en Angola.

 

En soit ?

Pas de souci.

 

Dans ces cas là, si ils ne l’ont pas carrément perdu, tu attends et tu le récupères une paire de jours plus tard.

 

Sauf que là, j’avais planifié de prendre la route dès mon arrivée pour me rendre dans le Delta d’Okavengo au Botswana.

Réservations faites là-bas, tant niveau logements que niveau activités.

 

Et 800 bornes à faire pour m’y rendre, 4 jours sur place, et 800 bornes pour revenir commencer mes 3 semaines et demies d’aventures namibiennes.

 

2 options donc :

– attendre mon sac, mais devoir zapper le Botswana (quand tu as déjà si peu de temps, tu peux pas attendre 2 jours).

Et aller je ne sais où à Windhoek puis faire je ne sais quoi pendant une semaine

– partir à l’arrache totale au Botswana, sans rien, et réfléchir seulement une fois parti des éventuelles conséquences.

 

Tu t’en doutes peut-être : j’ai choisi l’option 2.

Arrache totale.

 

Pourquoi je te parle de ça ?

Parce qu’il y a derrière deux grosses leçons qui aident vraiment quand on est entrepreneurs.

 

La première :

La rapidité de décision, et d’exécution.

 

Tu as une idée ?

Tu fonces.

Et tu réfléchis après.

 

Ca évite qu’un de tes concurrents sortent ce que tu prévoyais de lancer avant toi.

Et, surtout, tu fais rentrer du cash.

Même si ton truc n’est pas parfait.

 

Dan Kennedy le dit très bien : “Money is attracted by speed”.

Tu penses à quelque chose qui pourrait être bien pour ton activité.

Tu le fais.

Plus tu le fais vite, plus tu palpes.

 

Les procrastinateurs de niveau 11, pendant ce temps là ?

Ils cherchent encore l’idée parfaite, et jalousent ton succès.

 

La seconde leçon ?

C’est que ça te fait des trucs à raconter.

Et que tu peux systématiquement utiliser ce qui t’arrive et le lier à ce que tu as vendre.

 

C’est le principe même du storytelling, et ce qui fait que tu peux pondre des mailings à la chaîne qui vont rendre accros tes lecteurs.

Parce qu’ils sont personnels.

Différents de ce qu’ils voient chez tous les autres.

Tout en apportant juste ce qu’il faut d’inspiration, de motivation ou de petites leçons faciles à consommer qui vont leur donner envie d’acheter chez toi.

 

Comment transformer presque n’importe quelle petite histoire en mailing qui vend ?

Comment rédiger pour accrocher l’attention de ton audience, de ton titre à ton bouton d’achat ?

Comment donner envie aux gens de lire TOUT ce que tu partages, même quand il s’agit d’un petit truc sans prétention comme ce que je t’ai écrit aujourd’hui ?

 

…et donc de faire en sorte qu’ils voient toutes tes offres, quand tant d’entrepreneurs rament pour que ne serait-ce que 15% de leurs liste ouvres leurs mails ?

 

C’est ce que je te montre en détails dans ma formation Rédaction Hypnotique que tu peux récupérer en promo ici jusqu’à demain soir : http://lifestylers.fr/redaction-hypnotique/

 

Greg