Guide de survie en territoire vraiment pas très wifi

Région du Kalahari, sud de la Namibie, après m’être éclaté comme un fou à faire du hors piste pour mieux observer les girafes, zèbres, gnous et autruches de la réserve du coin.

 

Si tu voyages pas mal, tu le sais :

Il y a quand même pas mal d’endroits où tu es juste content quand tu captes un poil de wifi.

 

Genre sur les îles tropicales, ou ici, au fin fond de l’Afrique Australe.

 

Vous êtes nombreux à m’avoir demandé comment je m’organisais pour bosser dans des contrées aussi peu connectées.

C’est assez simple.

 

Le seul problème pour moi dans ces cas là, c’est pour gérer mes coachings et les calls avec les clients dont je me charge du marketing.

Parce qu’un appel Skype, ç’est vite un souci.

 

Du coup, je m’organise toujours pour regrouper les coachings que je donne et les programmer sur 2 jours d’affilée.

Et je m’arrange pour être dans une capitale ou une ville un peu près correcte à ce moment là.

Quitte à me faire une pause de 2 jours dans mon périple et repartir plus tard.

(Après tout, j’ai tout le temps du monde devant moi).

 

Là, jusque fin août ?

J’ai profité que tout le monde ait la tête un peu en vacances pour me prendre un mois de break sur le coaching sachant où je partais.

(Autant caler ce genre de trip à ces périodes là)

 

Pour le reste ?

Super simple.

 

Ne pas faire de vidéos.

(Et encore moins de webinaires)

 

Les vidéos ?

C’est une vraie plaie je trouve.

 

D’une part, ça vend nettement moins que des bons mails.

C’est pour ça que je n’en fais plus du tout.

 

D’autre part ?

Déjà que ça prend un temps fou à faire et à uploader quand tu as une bonne connexion, alors imagine quand tu rames rien que pour charger ta boîte de réception…

 

Alors que tu n’as pas besoin de wifi pour rédiger tes mailings et enregistrer des modules de formation.

 

Et tes modules ?

Tu peux les faire en audio.

C’est rare que tu aies vraiment besoin du format vidéo pour aider tes Padawans.

(Et tu peux en plus tout à fait planifier de sortir un produit qui ne te demande pas de faire de vidéo quand tu pars en mode Zimbabwe comme ça)

 

Uploader de l’audio sur Dropbox, par exemple ?

C’est super rapide.

Même avec les connexions merdiques que je me tape ici.

(Ca va même souvent plus vite que de charger une page web, va comprendre pourquoi…)

 

Ces jours-ci par exemple, je rédige le plus souvent mes mailings quand j’ai un moment dans la journée, et j’enregistre 1 ou 2 modules de formation chaque jour.

Et quand je trouve un bout de wifi le soir, je cale tout ça en ligne.

 

Tu fais ce que tu veux de ça.

Mais je trouve que c’est largement moins chiant que de mettre une vidéo le soir à uploader en espérant qu’elle soit bien absolument chargée en te réveillant le lendemain matin.

 

Tu voyages pour kiffer, pas pour te prendre la tête avec la technique.

 

C’est aussi ça d’être un(e) International (Wo)Man.

Pas juste partir pour ne plus avoir à payer d’impôts.

 

Mais bien pour faire ce que tu veux, quand tu veux.

Sans plus être limité par des règles ou des frontières à la c0n.

 

En parlant d’International (Wo)Man ?

 

Il y a déjà…20 modules en ligne !

Et je n’en suis qu’à la moitié de la formation tellement il y a à dire pour t’aider à monter ta boîte à l’étranger, profiter de tout ce que tu peux obtenir en allant où tu es le mieux traité pour chaque chose importante pour toi, ou voyager autant que tu en as envie…

 

Tout ça financé par Macron et ses potes.

Et encore, si tu as un business qui tourne bien, il te restera aussi de quoi sacrément investir même si tu te fais plaisir à n’en plus pouvoir…

 

Je ré ouvre le tarif spécial lancement juste pendant quelques jours.

Tu peux accéder aux 20 premiers modules de suite.

Et j’en ajoute régulièrement tout l’été.

 

Tu peux en profiter ici tant qu’il est encore temps si tu veux :

http://lifestylers.fr/international-woman/

 

Greg