Jusqu’à quel point maltraiter ton audience pour la plier à ta volonté ?

« Greg, j’adore tes mails. Tu me fais trop rire.

(…)

Tu n’as pas peur que certains de tes inscrits soient choqués quand tu pars dans tes délires et se désinscrivent ?

Ca te ne coûte pas des ventes ?

J’ai du mal à savoir jusqu’où aller (ou non) pour surprendre et choquer mon audience. Jamais je n’oserais aborder certains sujets comme tu fais. Tu fais comment pour te fixer des limites ? »

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Aaaaaaaah !

Voici une question GENIALE de Sarah.

Accroche-toi bien à l’élastique de ta culotte choupette !

Parce que mes réponses à ça vont te surprendre

(et vont bien d’aider à affoler tes stats de ventes, aussi)

Ai-je peur de choquer ?

Surtout pas !

Quelqu’un qui ne pige pas le second degré aura bien du mal à accrocher à ma personnalité

(c’est que je suis très sarcastique comme galopin, et oui, un peu provocateur à mes heures…)

Et qui dit quelqu’un qui n’accroche pas à qui on est vraiment, dit quelqu’un qui n’achètera pas chez nous.

Encore plus : si quelqu’un n’est pas capable d’aller au-delà de ça, c’est vraiment qui n’a pas la jugeote nécessaire pour réussir sur le web

(à mon humble mais très exact avis).

Il faut penser attraction/répulsion quand tu fais du contenu (que ce soit par mail ou en vidéo) :

Les gens accrochent avant tout à une personnalité.

Aux gens qui sont eux-mêmes.

Ca fait office de premier filtre (et ce n’est pas le plus mauvais).

Si la tronche d’un gars ne te revient pas, jamais tu n’achèteras chez lui.

Alors que si tu te reconnais dans sa façon de penser, si il t’inspire, si il arrive à formaliser des choses que tu penses sans avoir su mettre des mots dessus jusqu’ici…

… tes chances de le suivre sur la durée…

(et d’acheter ce qu’il te propose pour t’aider…)

sont multipliées par… vachement beaucoup.

Mon objectif :

Accélérer cette sélection naturelle.

Faire que ceux qui n’achèteront jamais se barrent.

Vite.

Et, surtout, faire que ceux qui vont aimer accrochent le plus vite possible.

(Résultat : ils achètent plus vite. Puis en mode repeat)

Je fais partie de ceux qui jouent pour gagner.

Pas pour ne pas perdre.

Et ce n’est surtout pas en faisant pareil que tout le monde qu’on obtient des résultats bien au-delà des moyennes.

Ca vaut pour le contenu qu’on partage, mais pour ce qu’on montre de nous-même aussi.

(Ne jamais oublier que l’authenticité, les gens adorent).

Ceci dit, attention :

Fais les choses selon ta personnalité.

Pas la mienne ou celle d’un autre.

Si je sors une connerie sur Jesus, les femmes ou sur ce que tu veux, c’est parce que c’est ma personnalité.

Je fais les mêmes au quotidien.

Si je suis sarcastique, c’est que je suis comme ça. De nature.

La pire idée qu’on puisse avoir, c’est de copier le style d’un autre.

C’est trop dur à (bien) faire, et ça se voit que ça sonne faux.

Les desinscriptions donc ?

Pas peur. Au contraire, tu l’as compris : je les provoque.

Les ventes ?

Je n’en perds pas en faisant comme ça. Au contraire : j’en gagne.

Pour ce qui est des limites, je n’en ai pas.

La question ne se pose même pas en fait.

Tant que tu restes toi-même et ne fais pas du trash juste pour faire du clic, sans lien avec le contenu que tu donnes derrière.

Ca, c’était le principe de marketing d’attraction/répulsion.

Et comment oser maltraiter son audience à l’occasion pour mieux la convaincre.

Dans « Devenir un monstre de persuasion en quelques semaines », j’ai compilé tout ce que tu dois savoir pour plier ton audience à ta volonté, et qu’elle fasse exactement ce que tu veux qu’elle fasse.

Pour son bien, et celui de ton compte bancaire.

Détails et promo très limitée ici.

Greg