Quelque chose de plus grand que le marketing ?

J’ai reçu une vingtaine de fois cette année ceci en réponse à un de mes mailings :

« Greg, j’adore tes emails. Ta façon d’écrire. Tu devrais faire quelque chose de plus grand que le marketing. »

Si vous utilisez mes stratégies et l’infotainment, un mélange entre l’information et le divertissement, vous allez forcément ne pas tarder à recevoir le même type de retour.

Mais là n’est pas le sujet…

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Si ça fait TRES plaisir ?

Carrément !

Si ça m’a rendu curieux de savoir ce que ces personnes entendaient par « quelque chose de plus grand que le marketing » ?

Clairement.

Beaucoup m’ont parlé d’écrire un roman, un scénario de film, ou de série. Ce genre de choses.

Si je compte Ă©couter leurs conseils ?

Absolument pas !

Pourquoi le faire ?

Je ne sais pas si c’est pareil pour vous (en tout cas je vous le souhaite), mais pour moi, RIEN n’est plus grand que le marketing.

Même si j’aime chaque jour un peu moins ce mot.

A force qu’il soit galvaudé et assimilé à tous les vendeurs de rêves, promesses délirantes et autres imposteurs-gourous n’ayant rien vendu de leur vie mais vous expliquant comment faire…

Oublions donc le terme « marketeur » et recentrons le truc sur ce que vous et moi faisons, jour après jour.

C’est à dire aider nos prospects à résoudre leurs problèmes.

Les aider Ă  transformer leur vie.

Pour le meilleur.

Car finalement, la recette n’est pas plus compliquée que ça.

C’est écoeurant de simplicité :

On aide les autres.

On leur apporte de la valeur.

Et cette valeur, on l’échange contre une autre valeur : de l’argent.

On donne, et on reçoit.

On est simplement payés pour aider les autres à vivre mieux et à réaliser leurs rêves.

J’ai beau me retourner le cerveau dans tous les sens, je ne vois pas ce qu’il pourrait bien y avoir de « plus grand que ça ».

Je fais le plus beau métier du monde.

Et vous aussi.

A condition toutefois de ne jamais oublier l’essentiel :

Ce qu’on fait, on le fait pour aider les autres.

Par pour le cash, ni l’égo.

L’argent, c’est juste une conséquence logique de tout ça.

L’égo ?

Ca n’a rien à voir.

Beaucoup l’ont déjà avant même de dépasser les 3 ou 1000 euros par mois.

Je ne sais pas pour vous, mais je supporte de moins en moins Fakebook.

On dirait qu’il s’agit des nouveaux open spaces à moquette grise où il est de mise pour être bien vu de faire des courbettes et de faux sourires.

On y « like » les trucs des personnes qui pourraient, à terme, nous apporter quelque chose en échange, alors qu’on les critique ouvertement par derrière….

Tout y devient aussi faux que dans un bureau.

Genre promotion canapé 2.0…

Alors que le temps qu’on y passe, on pourrait le consacrer à ce qui rapporte bien plus vite que ça : aider les autres.

Les turluttes, on peut les laisser aux salariés et aux politiques.

Le monde n’en a pas besoin de plus.

Alors que des gens comme nous, peut-ĂŞtre que si.

Des gens qui aident les autres Ă  transformer leur vie.

Et tant pis si ça n’est guère plus grand que le marketing…

Greg