Tes résidences idéales, à travers le monde, financées par ce que tu économises en impôts…

De la sublime vieille ville de Tbilissi, au réveil d’un gros samedi soir…

On est partis en cacahuètes total à groover pendant des heures hier soir avec les amis géorgiens et d’un peu partout autour du monde.

Des Life Stylers des temps modernes qui internationalisent à 2000% leur vie.

(Quitte à devoir se barrer des pays du racket fiscal, autant profiter des énormes et multiples options qu’offrent le fait de vivre où tu veux, quand tu veux…).

Au delà d’où chacun monte sa boîte ?

D’où on cale notre résidence fiscale ?

D’où on investit ?

Et de toutes les options que chacun ont pris ou considèrent pour la suite ?

On a discuté jusqu’à plus soif (enfin, si je puis dire…) d’où vivre.

Aux différents moments de l’année.

Et d’avoir la combinaison de résidences idéales (appart, maison, bungalow, chalet, ce que tu veux…) en fonction des types d’ambiance qu’on recherche, à chaque moment.

Ca a donné des trucs comme ça :

– le petit chalet, dans les montagnes géorgiennes ou bulgares

– l’appartement dans une ville “facile”, où ça parle anglais, où tu trouves tout ce que tu veux, et hyper connectée pour voyager où tu veux sans enchaîner les escales (comme Amsterdam)

– la résidence d’été, sur la plage, au bord de la mer (au Monténégro par exemple)

– celle d’hiver, plus dans la nature mais pas loin d’une ville où sortir et de la plage, comme c’est facilement trouvable en Amérique latine ou en Asie

– la cabane de pêcheur au bord d’un paisible lac balte ou finlandais, pour profiter d’un peu de fraîcheur en plein été et se poser tranquille à bouquiner ou réfléchir “stratégie”

– le studio de passage dans un des hubs avec les meilleurs connections du monde pour les vols, comme à Dubai, pour passer rapidement d’Europe en Asie, et y poser ses affaires pour toujours pouvoir voyager léger…

Et je ne sais combien d’options dans le genre.

Alors, c’est sûr, si tu achètes toutes ses résidences là, ça commence à faire une belle facture.

Et tu n’as probablement pas besoin de tout ça de toute façon.

Même si tu peux tout à fait acheter certaines de ses résidences en mode “lifestyle investment”.

C’est-à-dire que tu en profites quand tu veux, et que tu les loues le reste du temps.

Tu n’obtiens pas les mêmes retours sur investissements que des investissements purs et durs si tu fais ça.

Mais tu as ton chez toi, arrangé comme tu veux, et ça ne te coûte rien (ou vraiment pas grand chose) d’y passer un ou 2 mois dans l’année grâce à ce que tu fais rentrer avec les locations.

Jusqu’à ce que ça soit à toi ou que tu décides de revendre (avec une jolie marge si tu fais bien les choses), pour acheter ailleurs.

Bien sûr ?

Tu peux aussi investir dans une de ces résidences, pour y faire ta base.

Là où tu passes le plus de temps.

Et louer à loisir le type de résidences que tu veux dans le type d’endroits que tu veux, quand tu veux.

Le fait est que les options sont infinies.

Et que dès que tu commences à faire un minimum de cash avec tes projets, ça te coûte de toute façon bien moins cher que de régler ce que l’Etat va te ponctionner…

Tout ça ?

Et bien plus encore ?

On va en parler dans ma prochaine grosse formation “International (Wo)Man”.

Elle sera incluse comme d’hab’ pour les membres de la Marketing Master School.

Mais ça sera mois rentable pour les autres, tellement j’ai de choses à te montrer pour créer ta société à l’étranger, ne plus payer d’impôts, voyager à moindre coût et profiter d’opportunités d’investissements que tu ne trouveras jamais dans ton pays…

Le tout dans un plan d’internationalisation globale, 100% légal, en fonction de tes envies à toi.

 

Greg