Vendre comme un porc quand on n’est pas commercial pour un rond ?

Je sais :

Vendre, ça peut faire peur à beaucoup de wannabe entrepreneurs.

 

(Et pas besoin de sévir sur le net depuis aussi longtemps que moi pour s’en rendre compte…)

 

C’est normal, après tout.

Parce qu’avant de s’acoquiner un peu plus sérieusement avec Mark et son pote Ting, on en a une image complètement biaisée.

 

Comme cette image d’un démarcheur qui vient nous les briser à sonner à notre porte pour essayer de nous refourguer un truc dont on a rien à cirer.

 

Comme cette image de ce commercial aux dents longues en costard cravate prêt à tout pour finir son mois avec le maximum de commissions possibles.

 

Ou comme cette idée fixe que la vente, c’est le diable.

Et qu’il s’agit de pousser les gens à acheter nos trucs.

 

Pourquoi on en a une image si négative ?

Je ne sais pas trop.

 

Et à la limite, peu importe.

 

Même si le fait de l’associer à des expériences si déplaisantes doit forcément y être pour beaucoup.

 

Du coup, quand il s’agit de se lancer, pour monter une activité autour de quelque chose qui nous passionne pour gagner notre vie selon nos propres règles ?

 

Souvent, on bloque.

 

On n’ose pas.

 

On est comme paralysé par ce que les gens vont bien penser.

 

En mode « tiens, encore un qui essaie de me refourguer sa came ».

 

Je dois t’avouer quelque chose, même si tu l’as sans doute déjà deviné rien qu’à percevoir quel type de personnalité je peux avoir :

 

Il n’y a rien à la base qui me fasse plus gerber qu’un commercial.

Qu’un costard cravate.

Qu’une multinationale.

 

Et même que le système capitaliste tout entier.

 

Mais j’ai fini par faire mon deuil.

Et par adorer vendre.

 

Et il n’y a rien de magique derrière ce qui m’a aidé là-dessus.

Du tout même.

 

Le déclic ?

Ca a juste été quand j’ai enfin compris que ne pas proposer aux gens quelque chose qui peut vraiment les aider, ça dépasse tout entendement dès que tu y réfléchis vraiment.

 

Tu sais :

Tu as ces compétences, ces connaissances ou cette expérience sur un sujet.

 

Il y a ces choses que tu sais faire, qui peuvent aider tant de gens comme toi à résoudre les problèmes que tu avais toi aussi.

Ou qui peuvent aider tant de gens comme toi à obtenir quelque chose dont ils rêvent depuis si longtemps.

 

Et tu n’oses pas leur proposer, juste parce que tu as peur de ce qu’ils vont bien pouvoir penser.

 

Le fait est que ne pas mettre en avant clairement que tu as ces solutions là qui pourraient les aider aussi, c’est le pire desservice que tu puisses leur rendre.

 

Après ?

Libre à eux de voir ce qu’ils en feront.

 

Si ils décident d’aller plus loin, et d’acheter.

Ou s’ils lisent ou regardent juste tes trucs et décident que ce n’est pas pour eux.

 

Pour faire un peu dans la parabole, l’extrabole et le je sais pas quoi bole ?

 

C’est comme si tu trouvais le remède contre le cancer ou le sida.

Et que tu n’osais pas en parler à ceux qui en sont atteints.

 

Oui, ça ne ferait pas franchement sens…

 

Si aujourd’hui, tu n’oses pas vendre ?

Si tu passes ton temps à te demander si encore envoyer un email ou quelque chose à ton audience ne va pas faire trop ?

 

Repense à ça.

A chaque fois.

 

Et demande toi si ça vaut vraiment le coup de passer autant de temps à ne pas oser appuyer sur « envoyer ».

 

Tu n’es pas obligé de penser que tu es un vendeur, si ça t’aide.

 

Parce que je ne suis pas certain que ça soit vraiment notre taf finalement.

 

Et oui, même si la meilleure compétence qu’on puisse apprendre de toute notre vie est justement d’apprendre à vendre.

 

(En est-on vraiment à un paradoxe près dans cette vie ?)

 

Le truc ?

C’est que tu peux tout à fait tricher avec la façon dont tu vois ce que tu fais.

 

Et même sur les noms que tu y donnes.

 

Tiens, perso, je ne me reconnais absolument pas dans le mot « entrepreneur ».

 

Parce que pour moi, un entrepreneur, c’est quelqu’un qui a pour passion d’entreprendre.

De lancer sans cesse de nouveaux projets.

De gagner le plus possible.

 

Image très biaisée du terme ?

Sans doute.

 

Mais c’est comme ça pour moi.

 

Et c’est peut-être pour ça aussi que je me reconnais aussi peu chez tant de gens qui travaillent sur le oueb, et que j’ai si peu envie de les fréquenter.

 

Comme d’hab ?

On a le choix dans la vie.

 

On peut se cacher pendant des années derrière quelque chose, et ne pas avancer.

On peut décider de finir par regretter d’être passé à côté de nos rêves, et de la vie qu’on voulait vraiment mener.

 

Ou on peut simplement voir et faire les choses différemment.

Juste à sa sauce.

Sans changer sa nature.

 

Et avec les bonnes méthodes de persuasion ?

Tu te rends compte que tu peux simplement vendre comme un porc et aider un max de gens en étant simplement suggestif.

 

Comme si tu proposais à un pote d’aller boire un verre.

Juste en mode « tiens, je mets ça là, fais en ce que tu veux ».

 

(Ce qui n’est d’ailleurs pas le pire moyen de convaincre, loin de là…)

 

La base de tout ce que je fais ?

Ce n’est pas un scoop.

 

C’est via le mailing quotidien.

 

Et j’avais consigné toutes mes méthodes dans une formation qui s’appellait Emailing 3.0.

 

Le truc, c’est que cette formation, j’avais décidé de la retirer totalement et définitivement de la vente.

 

Et que le seul moyen d’y accéder soit de rejoindre la Marketing Master School, où je l’offrais en cadeau de bienvenue.

 

Sauf que la MMS, je l’ai fermée, jusqu’à ce qu’un des membres se désinscrive et qu’une place soit à nouveau disponible.

 

Alors, une fois n’est pas coutume, je vais faire une exception à mes règles.

Et te laisser l’opportunité de pouvoir accéder à cette formation.

 

Uniquement pendant une durée très limitée.

 

Derrière cette page :

http://lifestylers.fr/emailing3.0/

 

Parce que ne pas te permettre de la suivre serait exactement le même type de desservice que tu rends à ceux qui te suivent en n’osant pas clairement leur proposer tes méthodes…

 

Greg