Créer du contenu qui vend en bossant moins :
 l’astuce piquée à Stephen King qui rend la vie 10% plus facile

Si vous voulez augmenter les résultats de votre marketing, il faut que vous soyez lu, forcément.


(C’est pour ça que je ne cesse de seriner mes clients en coaching avec mon « tu peux faire le meilleur contenu du monde, si ton titre est pourri, personne n’en saura rien ») Vous faîtes des vidéos ? Ok, il faut que vous soyez vu, c’est pareil (d’autant qu’improvisé ou scripté, vous utilisez forcément un texte…)

C’est pareil pour tous les éléments de votre marketing (contenus, mailings, argumentaires de vente, etc…) et c’est pour ça que la technique qui va suivre va vraiment vous aider à augmenter le taux de réponse et d’engagement de l’ensemble de votre travail.

Le truc qui m’a le plus marqué (et aidé) ?

(Et pas qu’un peu !)

Ce qui a le plus marqué et aidé King lui-même.

Il s’agit d’une révélation qu’il a eu quand d’un de ses premiers éditeurs lui a répondu après avoir lu l’une de ses ébauches de roman :

« Le second brouillon = le premier brouillon – 10% »

l’astuce piquée à Stephen King qui rend la vie 10% plus facile

En d’autres mots, il lui fallait « couper » au moins 10% du gras de ses histoires pour parfaitement les affûter.
Et augmenter ses chances d’être édité.


Vous savez quoi ?


Ce conseil est encore plus juste pour tout ce qui touche au marketing. Et notamment au copywriting. Car quand vous rédigez pour convaincre, chaque mot en trop demande d’autant plus d’effort à vos prospects pour qu’ils achètent.



Au lieu de vous aider à atteindre vos objectifs, ces extras constituent des freins dans le processus de vente de votre produit.

Et, sachant qu’on perd tous des ventes sans qu’on puisse rien y faire quand notre prospect est dérangé par un élément extérieur et qu’il se dit qu’il « continuera plus tard », il est essentiel de ne pas fournir nous-même le bâton pour se faire battre…

Il y a une astuce simple que vous pouvez utiliser pour réduire n’importe lequel de vos messages marketing à juste l’information nécessaire et essentielle, sans sucres ajoutés .


Voici comment s’y prendre :


1/ Rédiger votre mailing, article ou page de vente.
2/ comptez le nombre de mots.
3/ Retranchez 10% à ce nombre.
4/ Editez votre texte pour parvenir à ce résultat.

Par exemple : si vous avez rédigé une page de vente de 5000 mots, vous enlevez 10% et obtenez 4500. Retravaillez alors votre page, encore et encore, jusqu’à avoir « réduit » à 4500 mots.


C’est une super façon d’améliorer tous vos contenus.
Pourquoi ?
Parce que ça vous oblige à utiliser des mots plus courts et à dire plus de choses en moins de place.

En fait, quand vous faîtes ça, vous vous rendez compte que des phrases et des paragraphes entiers peuvent être ré écrits en moitié moins de place. Tout en améliorant leur impact !

Peut-être que vous trouverez ça tout con comme technique, mais vous imaginez même pas à quel point ça m’a aidé.


J’adore écrire. Et comme n’importe qui qui aime écrire, on a naturellement tendance à en mettre des tartines, sans que ça soit nécessaire.

Je m’en étais déjà rendu compte quand je devais faire imprimer les flyers et posters des concerts et soirées que j’organisais quand je vivais à Amsterdam. P*****, comment convaincre les gens de venir en si peu de place quand ce n’est pas Michael Jackson à l’affiche ?

C’était mes tous débuts dans le marketing.

Bien plus tard, j’ai été manager éditorial d’un site d’information.

Sauf qu’il y a un truc que je ne pouvais pas changer dans la ligne éditoriale du site (la gueule du pouvoir du manager haha) : la longueur maximale des articles. 500 mots. Pas un de plus.

Chaud !

C’est là que j’ai appris, je crois, à rédiger pour le web.

Peu après, je dévorais des livres sur le copywriting… Et beaucoup de choses sur l’écriture, comme ce livre de Stephen King. Et j’ai fini par comprendre…

Vous allez augmenter ainsi « votre taux de lecture », vos taux d’engagement et de réponse, ce qui, forcément, va augmenter vos revenus.

Vraiment, testez ça.

L’autre bonne nouvelle ?

A force de se triturer les neurones pour tailler dans le gras comme ça, tout devient naturel. Et on rédige du contenu sculpté au scalpel, sans plus y prêter la moindre attention.

Une des façons les plus faciles d’améliorer votre écriture est d’opter pour des phrases plus courtes.


Voici un exemple inspiré du début d’une page de vente rédigée pour un client :

« Ça va se passer sans strass ni paillettes. Pas de roulements de tambours… Le battage médiatique attire le mauvais type de personne.

Pas de promesse démesurée ici. Aucun jeu sur les émotions.

On va se parler franchement.

Juste vous et moi.

 

Faisons un deal.

Comme je vais être 100% transparent avec vous… Faites-moi une faveur.

Lisez chaque mot. C’est de la plus haute importance.

Pourquoi ?

Parce que si vous êtes quelqu’un qui « pige » ce concept… et veut enfin obtenir des résultats… l’opportunité que j’ai pour vous pourrait faire toute la différence.

On y va ? »

Vous voyez à quel point le message est punchy ?

Les phrases les plus longues sont découpées par des « … » et la plupart des phrases sont très courtes.

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