Ta nana, à vie, juste contre 3 vaches…

En plein territoire Himba (l’équivalent zoulou du coin, pour faire simple et pas chiant), très très loin de tout.

Avec 3 ou 4 potes qui me regardent taper ce mailing (faut dire qu’ils ont pas dû voir souvent un ordinateur les loulous…).

 

Alors là, un tant que seul petit blanc en plein milieu d’un village (pour entrer, tu conduis 4 heures, tu prends le 7387e buisson à gauche, tu payes ton sac géant de riz et tu vas négocier comme tu peux avec le chef : bref, ils ont pas vu un blanc de leur vie les potos…)…

… je pourrais encore te parler de positionnement et de spécialisation

 

Parce que je me sens un peu comme la vache pourpre de Seth Godin là.

(En tout cas, je flashe comme jamais, pile comme tu veux te différencier de tes concurrents.

Tellement que tous les gosses du bled sont venus me toucher la peau quand je suis arrivé pour voir ce que ça fait, un blanc).

 

Vu comment je galère à me faire comprendre (moi pas parler ta langue mec), je pourrais insister aussi sur l’importance de rendre tes pages de ventes aussi claires que possibles.

Genre le truc que même un gamin de 8 ans avec 3 cases en moins puissent comprendre…

 

Je pourrais aussi de parler d’effet de contraste (une arme fatale mais trop peu maitrisée en Mark comme en Ting).

 

L’effet de contraste ?

Il te permet de faire passer n’importe quel tarif (ou presque).

En donnant l’impression que c’est moins cher que ce que c’est, à condition de le mettre à côté d’un tarif bien plus élevé.

 

Ou pour faire croire que ton offre apporte bien plus de contenus et de valeur que ce qu’elle offre vraiment (là encore en la plaçant à côté d’une autre juste conçue pour la faire paraître plus accrocheuse).

 

Mais ce n’est presque rien ça encore.

Tu peux tout faire avec l’effet de contraste.

 

Comme rédiger des mails qui “clignotent” dans la boîte des réception de tes prospects.

 

Ou des titres accrocheurs.

Susciter l’attention.

Raconter une histoire qui va scotcher ton audience, jusqu’à tes boutons d’achats.

 

Une de mes façons favorites de le faire ?

C’est dans les titres et les accroches.

 

Tu sais ?

Le truc nécessaire pour rendre tout le reste possible.

 

Parce que si on ne te lit pas ou qu’on ne t’écoute pas, tu ne risques pas de vendre…

Pile poil comme il te faut 3 vaches à amener comme dot au daron si tu veux te récupérer une femme de plus, à vie, pour ta collection.

(Tu peux réserver dès la naissance, ou attendre qu’elle soit “prête”, comme tu veux).

 

Ensuite ?

Tu continues à pilonner arguments sur arguments.

Exemples sur exemples pour illustrer ton message.

Tu casses objections sur objections, pour casser les freins de ceux qui hésitent à acheter tes trucs (la majorité donc, tout le monde étant sceptique de nature).

 

Tout ça et tout un tas de stratégies de persuasion qui te permettent de montrer à tes clients idéaux que ton offre, c’est ce qu’il leur faut.

Là.

Tout de suite.

Et pas plus tard.

 

Je te dévoile comment faire tout ça dans ma formation “Devenir un monstre de persuasion en quelques semaines” que tu peux récupérer pour 2 fois rien ici (et avec un bonus qui vaut au moins autant, vu que j’y rédige une page de vente en intégralité, devant toi. En t’expliquant tout ce que fait et pourquoi je le fais)

La théorie + la pratique en bonus donc.

 

 

Greg

 

PS : Note aux 3 éventuelles féministes un peu trop inspirées par le bourrage de crâne médiatique incessant à la française qui liront ceci (le pays qui n’a jamais de juste milieu pour rien sérieux…) :

 

C’est bon, on se détend ! ;-)

A l’époque de (grand) papy, c’était comme ça chez toi aussi.

 

Ce n’est que du storytelling.

Et tu peux en faire toi aussi pour démultiplier tes ventes…

 

Qu’elle soit remplie d’énervées de l’égalité des teubs.

Ou pas.

 

Moi ?

Je suis déjà reparti te montrer comment aussi faire ça sur cette même page