Je réfléchissais à ce retour d’un client, reçu ces derniers jours :
« Je t’ai vu sur quelques interviews (cools d’ailleurs) et tu reviens souvent sur l’angle du copywriting et mailing. Après c’est ta came, mais pourtant moi je suis convaincu que ce qui fait ton succès c’est ton mindset et que tu pourrais faire de l’e-commerce tu cartonnerais tout autant »
On est d’accord :
On s’en fout de moi.
Mais il y a quelque chose de très juste dans ces lignes.
Quelqu’un qui a le bon mindset ?
Il peut lancer un peu près n’importe quel projet.
Et être quasi certain de réussir.
(C’est exactement pareil pour ceux qui maîtrisent la vente et la persuasion d’ailleurs :
Ton projet peut se péter la gueule du jour au lendemain.
Tu peux te faire voler toute ta liste, tous tes produits et tous tes logins par des aliens.
Que tu te relèverais sans doute 20 fois plus vite que le loustic moyen qui rame à ne serait-ce qu’aligner ses priorités…)
Le mindset ?
J’en parle souvent.
(Et j’essaie de faire fuir comme je peux tous ceux qui en ont un en carton)
Mais clairement pas assez.
Il faudrait que je trouve un moyen un jour de bien l’enseigner d’ailleurs.
Mais pas envie non plus de tomber dans le dev perso à 2 balles.
Même si je suis bien conscient que la plupart des gens qui galèrent à faire quelque chose de potable sur la toile ont plus des problèmes perso à régler que des problèmes de marketing.
Le mindset de ceux qui cartonnent ?
Je préfère essayer de le faire transparaitre entre les lignes.
Au fil de mes mails.
Ou alors de faire du « mindset appliqué », pour que ça passe tout seul.
Comme je l’avais fait en février avec ce qui est sans doute la meilleure formation que je n’ai jamais sortie, de toutes celles que j’ai faites depuis 2013.
(En tout cas, pour sûr celle qui peut le plus augmenter les ventes de la grosse majorité de ceux qui l’appliqueront)
J’y parlais de beaucoup de stratégies de persuasion et d’influence.
Mais la règle numéro une de mindset que j’y partage (utilisée par absolument tous les meilleurs vendeurs au monde, mais pas uniquement…) justifie à elle seule très largement l’investissement dans cette formation.
Cette formation ?
C’était tellement du lourd que j’ai très longtemps hésité à la sortir.
(Jusqu’à la toute dernière minute d’ailleurs, alors que tout était pourtant près.
Mais il y a des fois où c’est tellement plus rentable de garder certains trucs pour soi que de les enseigner).
Et que j’en avais finalement très sévèrement limité l’accès, avant de la retirer de la vente dans la foulée.
Dès que 400 clients y avaient eu accès.
Je vais t’en reparler demain, tellement elle résout le problème numéro un qui empêche la plupart des gens d’obtenir les ventes et les clients qu’ils méritent.
Mais je ne tiens vraiment toujours pas à ce que trop de gens puissent y accéder.
Pour les mêmes raisons qu’en février.
(Et peut-être plus encore, vu les retours que j’ai eu dessus…)
Je réfléchis encore au nombre exact de personnes qui pourront la prendre.
Ce que je sais, pour sûr ?
C’est que ça ne sera vraiment pas beaucoup.
Et qu’il faudra être rapide.
Greg