Même John Carlton, pourtant l’un des tous tous meilleurs marketeurs au monde, se trompait là-dessus…
Quand, à l’époque où il était mentoré par Gary Halbert, le meilleur copywriter ayant un jour foulé notre belle planète, ce dernier l’a piégé en lui demandant ce qui faisait le plus acheter les gens.
« Facile, ce qui nous intéresse ! » répondit Carlton du tac au tac.
(Il faut dire que que rien ne nous intéresse plus que nos propres problèmes et intérêts, si on est un minimum objectif)
« Faux !
Ce qui fait le plus vendre, c’est la curiosité »
Je sais, la curiosité, je t’en ai déjà parlé what mille fois.
Reste que si tu ne vends pas autant aujourd’hui que tes connaissances ou que ta capacité à changer la vie des gens le méritent, c’est que tu ne maitrises pas encore assez le côté qui fait le plus de cash de la Force.
Des façons de créer tellement de curiosité qu’il est quasi insoutenable pour les gens de ne pas acheter ?
Rien que pour savoir quel est le secret que tu caches derrière ton marketing ?
Il y en a un sacré paquet.
Les évidentes.
Celles que tu connais déjà.
Consciemment ou non.
Mais ma favorite de toutes ?
Et la plus efficace pour vendre de tout ce que j’ai testé au fil des années, des différents projets, des différentes thématiques et même en anglais ?
J’ai mis des années à mettre le doigt dessus.
Je l’ai découverte chez un marketeur américain qui la maitrise vraiment à un niveau exceptionnel.
Tous ses mails (et ses pages de vente) en sont remplis.
Au début ?
J’étais fasciné par ses textes.
Par sa façon de présenter ce qu’il vendait, sans rien dévoiler du tout.
Et j’ai dû longtemps étudier son travail pour « capter » son truc.
(C’est qu’il y a un monde entre le voir devant toi et piger comment le faire à ton tour)
Quand j’y suis enfin parvenu ?
Non seulement je me suis mis à encore prendre plus de plaisir à rédiger que jamais jusqu’ici.
Mais mes ventes (et celles des clients dont je me charge des mailings) ont littéralement explosé.
J’ai notamment augmenter de 50% mon CA sur Life Stylers, en quelques mois seulement.
Sans rien changer d’autre.
Alors que ça tournait quand même déjà pleine balle depuis des années.
Le truc, donc ?
Il tient dans la façon de présenter tes arguments et ce que tu comptes vendre à ton audience dans tes textes.
(Ca marche bien sûr tout pareil si toi tu fais de la vidéo, de l’audio ou des webinaires)
En suivant d’une part ce qui devrait être une règle d’or enseignée par tout formateur qui se respecte un minimum.
Au lieu d’être complètement inconnue comme c’est le cas aujourd’hui.
Tellement ça rend douloureux de ne pas acheter.
Même si on n’est qu’à moitié intéressé à la base par le produit.
(En même temps, c’est pile ça la force de la curiosité :
Que ça soit insoutenable de ne pas s’avoir de quoi il s’agit.
Comme quand on sait que des proches nous préparent une surprise, et que l’un de nos amis nous dit qu’il a un secret sur Untel qu’il lui a promis de ne pas révéler).
Mais aussi en parlant de ta solution d’une manière très spécifique.
Pile celle que je viens d’utiliser dans ce mail.
Comme dans la grande majorité de ceux que je rédige désormais.
Car, oui, je t’en fais une démonstration quasiment tous les jours.
Ce double principe ?
La psychologie derrière ?
Comment l’utiliser ?
Et un exemple particulièrement bon, que je pense être le meilleur pour que tu puisses capter le truc tout de suite, et l’utiliser à ton tour dès le lendemain dans tous tes textes ?
Ca fait partie des pépites que je te partageais dans l’édition de juin 2019 de la Marketing Master School.
Qui, comme toutes les anciennes éditions n’est plus accessible.
Excepté aujourd’hui, exceptionnellement.
Jusqu’à 23h59 ce soir même.
Ici :
http://lifestylers.fr/marketing-master-school-juin-2019/
Greg