Le job (archi pourri) qui a changé mon business

Rédigé en Thailande, édité en Géorgie, programmé en Bretagne :

 

Reçu récemment cette question complètement différente des autres (mais tout sauf inintéressante) de Sabri :

 

“Salut Greg, 

Je me forme au marketing sérieusement et je passe actuellement un Bachelor marketing et communication à distance. Depuis que je te lis j’ai compris quel était le domaine le plus important et celui pour lequel j’avais le plus d’attirances voir même de passion.

Je dois réaliser une période de stage de 12 semaines, selon toi, quel serait le type/domaine de société qui pourrait le plus me faire progresser en copywriting et persuasion. 

Merci pour tout.

Sabri”

 

Alors, si j’étais prof, je mettrais déjà 20/20 à Sabri pour la lucidité et la la clairvoyance.

Mais, à défaut de trouver l’entreprise et la fonction idéale pour notre brillant Padawan (je vais quand même lui donner quelques pistes plus bas), quelque chose sur quoi cogiter si toi, tu as encore besoin d’un job salarié le temps que tes activités décollent sur l’interoueb :

 

Mon avis pour ceux dans ce cas ?

C’est de changer de job.

(Non, ce n’est pas dur de se faire embaucher, y compris dans un domaine dans lequel tu n’as jamais travaillé.

Surtout quand on connaît les bases de la persuasion)

 

J’en avais parlé il y a 27 ou 28 lunes dans une vidéo

(oui, dans une vidéo, la preuve que ça date) :

Il y a des années, j’avais enchaîné quelques missions pour un job tellement pourri que beaucoup préféreraient crever la dalle que de faire ça.

 

J’avais besoin d’un peu de fraîche à ce moment là.

J’aurais pu faire n’importe quoi.

Mais j’ai choisi un job bien particulier.

Recruteur de donateurs pour une asso.

 

Tu sais :

Le job de crevard que tu fais dans la rue.

Où tu es déguisé n’importe comment.

Et où tu dois arrêter les passants pour leur faire souscrire un abonnement pour soutenir une cause à laquelle ils ne pensent généralement jamais.

 

Pire job ?

Tu meurs.

Mais en même temps, meilleur job ?

C’est pas possible.

 

Parce que tu es obligé de devenir bon en persuasion quand tu fais ça.

Tu es obligé d’accrocher l’attention des gens, d’entrée de jeu.

Pour qu’ils s’arrêtent.

 

Tu es obligé de les convaincre, vite.

(Surtout quand comme moi tu as fait ça à Strasbourg en plein hiver…)

Et, surtout, tu es obligé de casser les dizaines d’objections qu’ils trouveront forcément pour ne pas devenir donateurs.

 

Je me les suis beaucoup pelé en faisant ça.

Mais j’ai aussi énormément appris.

 

Sabri ne voudra forcément pas faire ça (et toi non plus d’ailleurs).

Et il y a mieux sur un CV de marketing.

Mais tu vois l’idée.

 

Mon conseil à Sabri (et à toi si tu as besoin de payer les factures le temps de faire décoller tes projets) ?

Ca serait de postuler pour le job qui te permettrait le plus possible de pratiquer la persuasion.

(Autant lier le super utile à l’utile…)

 

Dans la vente, sans doute, donc.

(Et si possible, pour vendre des produits difficiles à vendre, à des gens qui n’ont pas envie qu’on leur en parle)

 

Est-ce que ça sera galère ?

Sans doute.

 

Mais forcément super formateur.

Et super rentable pour la suite de ta carrière, notamment sur le web.

 

Dans le même genre, mais en nettement moins galère ?

(et que tu peux suivre dans ton fauteuil, une couverture sur toi, devant la cheminée…)

La formation papier de la Marketing Master School.

 

C’est un investissement de 3,23€ par jour.

Mais largement rentabilisé chaque mois si tu appliques l’info que tu y trouves dès le prochain mail que tu envoies.

Puis encore.

Et encore.

 

Ca commence par Emailing 3.0 (offert en bonus dès que tu t’inscrits).

Et par ce lien :

http://lifestylers.fr/marketing-master-school/

Greg