Pourquoi je ne cherche pas à vendre aux mêmes « clients » que mes concurrents

Quelque chose qui peut très vite t’envoyer dans le décor si tu ne fais que te fier aux apparences ?

 

La façon dont les excellents copywriters choisissent de marketer ce qu’ils vendent.

Et, surtout, à qui précisément ils DECIDENT de s’adresser.

 

C’est naturel, et on est tous pareils :

Quand on débute, on va chercher à faire du reverse engineering.

A comprendre l’envers du décor.

 

Ce que fait un marketeur qu’on admire, et qui semble vraiment excellent.

Pour proposer la même chose, adaptée à notre projet à nous.

 

Le souci avec ça ?

C’est que ses objectifs, sa stratégie, les clients qu’ils ciblent ne sont pas les mêmes que les tiens.

 

Je te donne un exemple concret que tu connais bien pour que tu voies bien le truc :

Le mien.

 

Quelqu’un qui chercherait à convaincre ses inscrits de la même manière que je le fais se planterait forcément si il passait à côté d’un point essentiel de ma stratégie :

 

Je ne cherche pas à vendre aux hyper-acheteurs sur Life Stylers.

 

Tu sais :

Ces personnes qui sautent sur tout ce qui brille et sur ce qui a le sex appeal du nouveau.

Du ninja.

Du facile.

 

Mais au contraire, aux sceptiques.

 

Ca peut paraitre étonnant, je sais.

 

Parce qu’il est a priori beaucoup plus facile de vendre aux addicts de la recherche de la nouveauté et du système magique.

(Surtout sur ma thématique)

 

(Ce n’est pas pour rien si nombre de formateurs ont réussi à se faire des fortunes en étant si médiocres en persuasion, après tout.

Il suffit presque de promettre la lune pour beaucoup vendre)

 

Sauf que, dans les faits…

 

Le problème avec les ultra acheteurs ?

 

C’est que tu te retrouves avec des « clients » qui ne sont pas des clients justement.

Mais juste des acheteurs.

 

Ils ont succombé à tes belles promesses, sans réfléchir.

 

Et, forcément, la plupart ne feront rien de ce que tu leur vends.

 

Ils n’appliqueront rien.

Ils n’obtiendront donc pas de résultats.

Et ne risqueront pas d’être satisfaits.

 

C’est le souci quand tu cherches à vendre aux addicts de la dopamine à la recherche de leur shoot.

 

Si tu fais des ventes ?

Oui.

 

Et potentiellement beaucoup.

 

Mais tu ne te crées pas de vrais clients.

 

Des convaincus.

Qui vont te suivre pendant des mois ou des années.

 

Et qui vont du coup bien plus te rapporter.

 

Et tu te retrouves à devoir sans cesse re créer du racoleur.

 

Sans parler que c’est bien plus agréable d’avoir à gérer ce type de personnes que ceux qui ne lisent même pas tes argumentaires de vente, qui achètent sans réfléchir, et qui se retrouvent à se plaindre sans arrêt ou à te donner mauvaise presse alors qu’ils n’auraient jamais du acheter en premier lieu.

 

Et que c’est bien plus chouette d’avoir des clients qui réussissent grâce à toi.

 

Est-ce que ça veut dire que tu ne dois pas chercher à vendre aux junkies de la dopamine ?

Pas forcément.

 

Là encore, c’est une question de stratégie.

De choix.

De positionnement.

De ciblage.

 

Comme c’est toujours le cas.

 

C’est d’ailleurs pour ça que je cherche bien plus à te montrer pourquoi je fais les choses telles que je les fait dans mes formations.

Comment je les réfléchis, en fonction du projet et du contexte.

 

Plutôt que de te donner du tout cuit à recopier sans réfléchir.

 

Ca ne serait juste pas t’aider.

 

Mais ça implique que mon travail n’est pas pour tout le monde.

 

Et la prochaine édition de la coquine à ventes de la Marketing Master School est vraiment dans cette veine là.

Certains vont adorer ce qu’ils vont y découvrir.

Parce que ça va littéralement leur retourner le cerveau, et leur faire penser leur business et leur marketing complètement différemment.

 

Les autres, eux ?

Ils risqueraient d’être déçus.

 

Et ça sera notamment le cas avec la partie où je vais te montrer pourquoi je préfère vendre aux sceptiques, plutôt qu’aux ultra-acheteurs.

(Et comment t’y prendre si tu veux faire pareil)

 

Parce que ça va te demander de te poser, et de réfléchir un minimum.

 

Une bonne chose, si tu veux mon avis.

 

Mais vraiment pas la came de tout le monde.

 

Tu l’as peut-être vu :

Il n’est plus possible de rejoindre la Marketing Master School pour le moment.

 

Et ça, pour un bon bout de temps.

 

Mais je sais que cette édition peut tellement changer les résultats de ceux qui se donneront la peine de vraiment la creuser et d’adapter leur business en fonction de ce qu’ils vont y découvrir…

…que je te laisse la possibilité de la recevoir chez toi.

 

Pour ça ?

Il te suffit de remplir le bon de commande présent sur cette page avant que je ne la fasse expédier :

http://lifestylers.fr/la-marketing-master-school-daout-chez-toi-au-format-papier/

 

Précision importante :

Il s’agit d’une formation papier.

 

Physique donc.

 

Que je te fais expédier chez toi, ou où tu es ce mois-ci.

 

Greg