Milano.
No offense, joli matou…
Mais si ta thématique était en fait trop grande pour toi ?
Ce que j’entends par là (avant que tu me tapes…) ?
Ce n’est pas que tu n’es pas capable de t’attaquer à un domaine qui intéresse autant de monde que celui sur lequel tu sévis aujourd’hui.
Mais que tu commets probablement une erreur en le faisant.
Pourquoi ?
Parce que cibler trop large empêche d’avoir un gros impact.
D’être instantanément remarquable.
Et d’être perçu comme l’une des rares (si ce n’est la seule) options intéressantes pour ceux que tu cherches à aider.
C’est toujours la question du spécialiste.
Si tu es le meilleur spécialiste dans quelque chose de précis, ceux qui s’y intéressent ou qui ont un problème sur le sujet sont quasiment obligés de passer par toi.
Ou d’au moins tomber sur toi un jour ou l’autre.
(Probable même que des gens leur parle de toi)
Alors que si tu n’es qu’un énième exemplaire de ce qui se fait déjà qui cherche à parler à un peu tout le monde, tu te condamnes à passer un temps fou pour convaincre.
(Sans parler que tu deviens bien plus vite excellent en groovant toujours plus ou moins sur le même domaine)
Ca ?
Tout le monde le comprend.
Mais quasi personne n’ose le faire.
Quasiment personne n’ose retravailler son positionnement, et réduire volontairement sa thématique.
Parce que ça fait peur.
On se dit qu’on renonce à tant de clients potentiels en faisant ça.
(Au lieu de voir l’intérêt de les convaincre « sur-mesure » et de les trouver tellement plus facilement vu qu’on sait exactement avec qui on veut travailler)
C’est normal.
C’est humain.
Et je m’en rends compte à chaque fois que je commence à bosser avec un nouveau client en coaching, et que la meilleure option est justement d’affiner son positionnement pour devenir un leader sur une thématique certes plus petite, au lieu d’essayer de survivre au milieu de la concurrence.
Il ya toujours tout plein de blocages qui nous retiennent de le faire.
Alors que c’est quasiment tout le temps la meilleure décision stratégique à prendre.
C’est comme le fait de refuser des clients parce qu’ils ne correspondent pas à nos critères exacts.
Quand il faut payer les croquettes, et se montrer qu’on est capable de monter un business à succès, c’est très dur de dire non à ce client moisi qui va nous rapporter que dalle.
Mais c’est pourtant ce qu’il faut faire.
Surtout que…
(Et c’est essentiel à comprendre)
…les maths sont toujours en ta faveur :
Quelle que soit ta thématique, ce que tu fais, ta spécialisation ou ton positionnement, tu auras toujours bien plus de gens ayant besoin de ce que tu peux leur apporter qu’il n’existe d’exemplaires de toi.
(A priori, tu es une édition très limitée toi aussi)
Tu fais ce que tu veux de ça.
Mais sache que ça été l’un des plus gros game changer pour moi.
Pareil pour tout ceux parmi les plus de 250 clients que j’ai accompagnés au fil des années à qui j’ai fait retravaillé leur positionnement d’une manière ou d’une autre.
(Presque tous, donc)
Est-ce que réduire ta thématique, te spécialiser à fond et réduire les clients idéaux que tu cherches à convaincre vraiment uniquement aux top clients pour toi est la seule manière d’améliorer ton positionnement ?
Non.
Il y en a 14 autres que j’aime beaucoup et qui peuvent aussi beaucoup changer les résultats que tu obtiens.
J’ai plus de place pour te parler de tout ça sur cette page :
http://lifestylers.fr/special-positionnement/
Greg