Tu peux m’appeler Tonton Croquettes

C’est devenu une running joke avec mes clients pendant ma dernière semaine d’immersion copywriting :

Le coup du « Tonton Croquettes ».

 

(Un mot que j’adore « croquettes ».

Un peu comme Zimbabwe : ça me fout de bon oilp’ rien que de le prononcer)

 

Pour moi, les croquettes ?

Ce n’est pas juste ce que je donne à Biwa, le matou le plus calé du monde en Mark comme en Ting.

 

Faut dire qu’elle est pas prête de crever la dalle, la louloute.

 

Non, les croquettes, c’est les royalties.

 

Tu sais :

Genre Jean-Jacques Goldman qui continue de palper dès qu’un de ses tubes passe à la radio.

(C’est-à-dire à peu près toutes les minutes…)

 

Tu fais un truc.

Et tu palpes pendant des années.

 

Et ça rejoint la grosse révélation qui me trainait au fond du crâne depuis des années mais qui est enfin devenue hyper limpide récemment :

 

Ma vraie compétence numéro une ?

Ce n’est pas le copywriting.

Ou l’emailing.

 

Mais juste de faire exploser les résultats des business en cogitant la stratégie.

 

A force d’avoir accompagné autant d’entrepreneurs en individuels ces dernières années ?

(Et pas des moindres)

 

A force d’avoir fait x3, 4, 5, 6, 7, 8 et plus sur d’autres en me chargeant de tout leur marketing contre ces fameuses croquettes, alors qu’on ne partait pourtant pas de rien ?

 

C’est devenu ce qu’il y a de plus facile pour moi.

 

Le truc que je peux faire 3 heures par jour sans même avoir l’impression de travailler.

Limite comme on respire.

Et de mon canap’, ou même sous ma couette.

 

Et quand tu pousses la réflexion jusqu’au bout ?

 

(J’avoue, j’ai mis du temps :

C’est qu’il faut que ça monte au cerveau et que ça touche tous les loustics qui vivent là-haut…)

 

Tu te rends compte que c’est ça que tu dois faire :

 

Consultant hyper premium pour les déjà gros business qui veulent encore doubler.

 

Non seulement c’est ce qu’il y a de plus facile pour moi.

Mais c’est aussi, forcément, ce qu’il y a de plus rémunérateur.

 

Et même si tu n’inclues pas de croquettes dans le deal.

En mode gros fee + %age sur les ventes que tu fais générer à tes clients

 

Ne t’étonne pas donc si je change petit à petit tout ce que je fais pour aller de plus en plus dans cette voie là.

 

Mais si je te parle de ça, ce n’est pas pour te partager mon journal intime…

 

C’est que tu peux suivre la même réflexion pour savoir toi aussi ce que tu devrais faire.

 

Ce qui va être le plus facile à vendre pour toi.

Qui va te demander bien moins d’audience.

Probablement même pas de publicité.

 

Et que tu vas pourtant facturer bien plus cher que tout ce que tu fais jusqu’ici.

 

Encore meilleur ?

En cherchant justement à ne proposer que les choses qui sont les plus faciles et naturelles pour toi.

 

Celles qui te demandent presque aucun effort.

 

Pour ça ?

Il y a une formule que tu peux suivre.

 

Celle des clients idéaux « ultras idéaux ».

 

Je te la détaille dans le premier épisode de Breakthrough que j’envoie ce soir aux membres de la Marketing Master School.

 

Tu peux le recevoir aussi si tu es membre avant 19h54.

 

En passant par ce lien :

http://lifestylers.fr/marketing-master-school/

 

Ne commets surtout pas l’erreur de penser que c’est uniquement pour toi si tu vends du consulting, ou que tu bosses uniquement en prestation de service ou en done for you.

Car le principe est exactement le même, quel que soit ton projet ou ce que tu vends.

 

Greg